Blog SNPTES de l'académie de Lille

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vendredi 18 septembre 2020

Technicien(ne) de laboratoire BAP A (SVT) - Cat B

Lycée Valentine Labbé LA MADELEINE

La gestion de carrière est assurée par le Rectorat de Lille

Le lycée Valentine Labbé est situé à La Madeleine, proche de Lille.

Nous sommes un lycée soucieux de proposer des formations de qualité et très variées (BAC-3 / BAC+3) dans les 3 domaines Biologie/Biochimie, Santé et Social.

L’équipe pédagogique, compétente et dévouée, enseigne en :

- formation initiale sous statut scolaire : Bac S, Bac ES, Bac ST2S, Bac STL, Bac Pro A2SP, Bac Pro SPVL, BTS Analyses de Biologie Médicale, BTS BioAnalyses et Contrôles,  BTS Biotechnologies, BTS SP3S, CPGE TB, D.E Infirmier, DTS IMRT.
- dans les sections par apprentissage : CAP Accompagnant Éducatif Petite Enfance, BTS BioAnalyses et Contrôles, BTS SP3S , DE Auxiliaire de puériculture (septembre 2015).
- en formation continue des adultes.

Descriptif du poste

Assister les professeurs dans la préparation et le déroulement des séances d’activités technologiques de
Biologie Cellulaire, Hématologie et Immunologie
- Encadrer la mise en place des expériences de Travaux Pratiques et Activités Technologiques et de cours
dans les domaines des Biotechnologies
- Connaître et faire appliquer les règles de sécurité
- Rédiger et actualiser les fiches de préparations et les protocoles techniques
- Mettre en place des outils de communication
- Planifier l’utilisation des appareils scientifiques, des salles d’expériences ou d’enseignement
- Gérer et assurer le suivi des commandes et de la réparation du matériel
- Assurer la liaison entre l’équipe pédagogique, l’équipe de laboratoire, être attentif aux besoins
professionnels de chacun
- Assister les enseignants dans l’encadrement des séances de Travaux Pratiques et Activités
Technologiques
- Procéder à la gestion des déchets en respectant les règles d’hygiène et de sécurité
- Animer une équipe de personnels techniques de laboratoire, contribuer à leur formation
- Gérer la maintenance des équipements

- Appréhender les différents laboratoires et instruments de mesure du service
- S’adapter aux modes de fonctionnement des différents enseignants
- S’intégrer à l’équipe d’ATRF et Techniciens du lycée

Profil recherché

Connaissances :
- Biologie Cellulaire, Hématologie et Immunologie
- Physique et Chimie (notion de base)
- Calcul mathématiques (notion de base)
- Techniques de Biochimie et de Chimie
- Réglementation en matière d’hygiène et de sécurité
- Symboles et pictogrammes (réglementation REACH)
- Langue anglaise : A2 à B1
Compétences Opérationnelles :
- Utiliser les logiciels spécifiques à l’activité
- Transmettre les connaissances
- Rédiger des procédures techniques
Compétences comportementales :
- Sens relationnel
- Sens de l’organisation
- Curiosité intellectuelle

Information complémentaires

Les candidatures constituées d'un CV détaillé, d'une lettre de motivation et du dernier compte-rendu d'entretien professionnel, sont à adresser avant le 17/10/2020 par mail uniquement à l'adresse suivante : depa-bpt@ac-lille.fr

Personne à contacter :

Mme Brigitte TRADIGO, Cheffe du Bureau des Personnels Techniques par intérim : 03 20 15 60 08

Nature de l'emploi : Emploi ouvert aux fonctionnaires et/ou aux contractuels

Syndicalement.

Dany

jeudi 17 septembre 2020

Technicien(ne) de laboratoire BAP B (physique-chimie) - Cat B

Le lycée Pasteur est un lycée général, technologique et professionnel. Il compte environ
1200 élèves y compris les BTS.
Il y a 7 classes de secondes GT, 7 classes de de premières GT et 7 classes de terminales GT
Les diplômes préparés sont : Bac général, STI 2D et STL
A la SEP, les diplômes préparés sont : CAP, Bac pro MELEC, Bac pro MEI, Bac pro EBGT

La gestion de carrière est assurée par le Rectorat de Lille.

Descriptif du poste

Au sein d’une équipe (9 professeurs) et en collaboration avec ses collègues, le technicien de chimie
assure les interventions courantes et concourt à la transmission des savoirs :
- Préparer et contrôler les montages nécessaires au déroulement des activités (conformément
aux directives des professeurs)
- Assurer la maintenance opérationnelle des appareils spécialisés.
- Préparer des solutions chimiques.
- Anticiper les besoins matériels.
- Appliquer et faire appliquer les règles d’hygiène et de sécurité.
- Assistance aux enseignants lors des TP, CCF et Projet.
- Transférer des connaissances et des savoir-faire aux élèves.
- Accueillir et encadrer les stagiaires.
- Retrait du matériel dans les salles et nettoyage.
- Installation dans les salles du matériel de travaux pratiques et vérification, gestion des stocks
et commandes du laboratoire de chimie en coopération avec ces collègues.
- Mise au point et préparation de travaux pratiques en chimie.
- Assurer la gestion des déchets chimiques.
- Entretien du matériel spécifique.

Conditions particulières d'exercice

Grande disponibilité et réactivité, pour répondre aux demandes des enseignants lors de
problèmes techniques pendant une séance de cours ou de travaux pratiques.
- Amplitude de travail variable en fonction des contraintes pédagogiques

Profil recherché

- Connaissances scientifiques et techniques
- Bon sens de l’organisation et rigueur
- Esprit d’initiative
- Réactivité et polyvalence
- Bonnes qualités relationnelles
- Tenue et comportement appropriés au travail en milieu scolaire

- Anticiper la demande des professeurs pour assurer le meilleur déroulement possible des travaux pratiques.
- Devenir une force de proposition.
- Anticiper les besoins matériels.

Information complémentaires

Les candidatures, constituées d'un CV détaillé, d'une lettre de motivation et du dernier compte-rendu d'entretien professionnel, sont à adresser par mail uniquement avant le 17/10/2020 à l'adresse suivante : depa-bpt@ac-lille.fr

Personne à contacter : Mme Brigitte TRADIGO, cheffe du bureau des personnels techniques par intérim - 0320156008

Nature de l'emploi : Emploi ouvert aux fonctionnaires et/ou aux contractuels

Syndicalement.

Dany

mercredi 16 septembre 2020

Égalité professionnelle entre les femmes et les hommes : pour le SNPTES, il reste beaucoup à faire !

Le SNPTES a participé le 4 septembre 2020 à un groupe de travail sur l’élaboration du plan national d’action pour l’égalité professionnelle femmes – hommes.

L’élaboration d’un plan d’action égalité professionnelle a été rendue obligatoire pour les employeurs publics par la loi du 6 août 2019 de transformation de la fonction publique, qui a repris les principales dispositions de l’accord signé le 30 novembre 2018 relatif à l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes dans la fonction publique que le SNPTES a signé par l’intermédiaire de sa fédération. Un décret récent du 4 mai 2020 est venu préciser les modalités d’élaboration des plans d’action.

Aux termes de la loi précitée, le plan d’action doit être élaboré avant le 31 décembre 2020, porter sur une période de trois ans et traiter à minima de quatre thèmes portant sur les écarts de rémunération, l’égal accès des femmes et des hommes aux corps, grades et emplois, l’articulation entre activité professionnelle et vie personnelle, la prévention et le traitement des discriminations, actes de violence, de harcèlement moral ou sexuel ainsi que des agissements sexistes.

Le décret du 13 mars 2020 a précisé les modalités de mise en œuvre du « dispositif de signalement » à mettre en place pour ce dernier point. Des travaux sont déjà engagés au MENJS et au MESRI, dans le cadre de la candidature commune des deux ministères aux labels « égalité professionnelle entre les femmes et les hommes » et « diversité » délivrés par l’AFNOR.

À la lecture du projet de plan d’action, le SNPTES se félicite des avancées prévues et de l’important travail engagé en faveur de l’égalité professionnelle femmes – hommes.
Cependant, le SNPTES remarque que beaucoup d’actions en faveur de la communication ou de la formation sont engagées mais qu’aucun ou trop peu de bilan des actions n’est prévu.

Concernant les actions qui nécessitent un travail ou un accord de la DGAFP pour des moyens financiers ou des droits supplémentaires, le SNPTES constate qu’il n’y a aucune avancée sur des sujets prégnants et touchant à la qualité de vie au travail telle que l’annualisation du temps partiel. Le SNPTES constate également des retards pour l’application d’un certain nombre de mesures qui devaient être en place dès 2019.

De la même manière, concernant l’axe 3 du plan d’action sur la réduction des écarts de rémunérations et de déroulement de carrière entre les femmes et les hommes, le SNPTES constate que celui-ci est globalement pour l’instant sans contenu (méthodologie de mesure des écarts, mesures de résorption des écarts de rémunération, Etablir un bilan indemnitaire sexué, etc.). Pour le SNPTES, c’est pourtant un des axes principaux pour atteindre un objectif d’égalité professionnelle.

Le SNPTES demande l’accélération de ce travail pour qu’enfin il soit possible de parler d’une réelle égalité professionnelle femmes hommes au sein des établissements et service du ministère de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports et du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation.

Le SNPTES saura être force de propositions pour faire évoluer positivement la rédaction de ce plan national d’actions pour l’égalité professionnelle femmes hommes. Il restera extrêmement vigilant sur l’application effective de ces mesures par les établissements et services.

La situation sanitaire de cette rentrée appelle à la plus grande responsabilité de tous les acteurs de l’enseignement supérieur

Alors que, comme on s’y attendait, les photos et témoignages d’universités pleines à craquer se multiplient, le SNPTES ne tolérera pas que notre jeunesse soit stigmatisée.

Cette jeunesse, le SNPTES tient à le rappeler, est celle qui connaît les simulations d’alerte intrusion à l’école, où on apprend à se cacher sous des tables et à ne pas faire de bruit en cas d’attaque terroriste. Cette jeunesse est celle qui voit venir un futur sombre où les questions écologiques de réchauffement climatique, d’extinction du vivant, etc. ne sont toujours pas considérées à leur juste mesure par les gouvernements. Cette jeunesse, enfin, est celle qui a vécu le confinement, vu cette maladie s’installer avec la crainte, voire la culpabilité, en étant asymptomatique, de contaminer sans le savoir des proches plus âgés.

Cette jeunesse n’a pas d’autre choix que d’être raisonnable et réfléchie et elle l’est bien plus que nous ne l’étions !

Évidemment, des rassemblements extra-universitaires ont lieu et ils sont salutaires pour les étudiantes et étudiants. Sûrement que certains de ces rassemblements ont conduit à la transmission du virus. Cependant, comment ne pas parler d’abord de conditions d’accueil désastreuses des étudiants dans les universités ? Les amphithéâtres ou les salles bondés, faute de n’avoir pas compensé l’accroissement démographique depuis des années ! Les bâtiments vétustes, la déficience, parfois, des systèmes de ventilation, faute de n’avoir pas investi ! Les sous-effectifs des services d’entretien, de logistique, de scolarité, faute de n’avoir pas recruté ! etc. Ne doit-on pas voir là les facteurs principaux d’aggravation des contagions ?

Nos universités sont saturées depuis longtemps et les personnels à bout de souffle. Ceux qui en paient le prix en fin de compte, ce sont bien nos étudiants et étudiantes qui, avec les personnels, prennent pourtant leurs responsabilités pour affronter cet énième coup de boutoir que porte la crise sanitaire à notre enseignement supérieur. À l’État de prendre les siennes !

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