Blog SNPTES de l'académie de Lille

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lundi 18 janvier 2021

Adjoint en gestion administrative -Cat C

L’université du Littoral Côte d’Opale (ULCO) est une université à dimension humaine. Etablissement pluridisciplinaire hors santé, il est implanté sur 4 sites géographiques sur lesquels il  accueille 10 000 étudiants. L’ULCO comprend 12 départements pédagogiques, 1 IUT, 1 école de commerce, 1 école d’ingénieurs, 14 unités de recherche et des services généraux et communs.

Elle est dotée d’un budget de 100 M€, dont 75 M€ de masse salariale.

Elle dispose de 520 emplois de personnels enseignants-chercheurs et enseignants et de 500 emplois de BIATSS.

Son patrimoine immobilier compte plus de 112 000 m².

Descriptif du poste

Le parc immobilier de l’Université du Littoral Côte d’Opale représente une superficie de 112 000 m2 SHON soit 46 bâtiments répartis sur 04 sites. La Direction du Patrimoine est en charge de l’ensemble des opérations qui touchent à ce parc immobilier : construction, réhabilitation, rénovation mais aussi la maintenance, l’aménagement, l’entretien et l’exploitation des bâtiments.

Sous l’autorité de la responsable du pôle administratif et financier, il/elle sera chargé(e) d’exécuter des actes administratifs, financiers et de gestion courante au sein de la Direction du Patrimoine

Activités principales :

 1-       Dans le domaine financier

  • Participer à la gestion financière et comptable du budget du service
  • Vérifier les devis de travaux émanant des entreprises
  • Procéder aux opérations de passation des commandes et des engagements financiers
  • S’assurer des services faits et procéder à la liquidation des engagements financiers
  • Traiter les situations de travaux émanant des entreprises et s’assurer de leur conformité avec les prérogatives des marchés de travaux
  • Tenir à jour les tableaux récapitulatifs des situations de travaux pour chaque opération
  • Renseigner les tableaux récapitulatifs des dépenses pour chaque centre financier (C90003 et C90004)

2-       La gestion courante du service

  • Établir, mettre en forme et diffuser des documents (courriers, certificats administratifs, cahiers des charges, DGPF, ordres de service..)
  • Élaborer et tenir à jour les différents tableaux de bord relatifs aux travaux immobiliers
  • Répondre aux demandes d’informations des autres services et de l’extérieur
  • Sélectionner et diffuser l’information en interne et en externe
  • Réaliser et gérer des opérations courantes au sein de la Direction du Patrimoine
  • Enregistrer et classer les documents
  • Renseigner les différentes enquêtes
  • Traiter les demandes émanant de la boîte générique du service
  • Retranscrire des informations orales à l'écrit (compte-rendu)
  • Collaborer avec les différents membres de la Direction du Patrimoine

Conditions particulières d'exercice

Encadrement : NON

Conduite de projet : NON

Profil recherché

Compétences

Connaissance, savoir :

  • De bonnes compétences en informatique (excel),
  • Des compétences dans les domaines gestion, comptabilité et/ou finances,
  • Une connaissance générale des marchés publics,
  • Savoir rendre compte (application),
  • La connaissance de l’outil SIFAC serait un plus.

Savoir faire :

  •  Une bonne capacité d’analyse

Savoir être :

  • Rigueur / fiabilité,
  • Curieux(se), réactif(ve),
  • Etre autonome tout en sachant rendre compte,
  • Disposer de bonnes capacités rédactionnelles et de communication,
  • Apprécier le travail en équipe,
  • Capacité d'adaptation.

Niveau d'études minimum requis : Niveau III : Bac + 2 BTS, DUT, ou diplôme équivalent

Information complémentaires

Type de contrat : CDD 1 an

Salaire brut mensuel indicatif : 1554.58 euros

Nature de l'emploi : Emploi ouvert aux contractuels

Syndicalement.

Dany

Technicien-ne électrotechnicien-ne -Cat B

L’université du Littoral Côte d’Opale (ULCO) est une université à dimension humaine. Etablissement pluridisciplinaire hors santé, il est implanté sur 4 sites géographiques sur lesquels il  accueille 10 000 étudiants. L’ULCO comprend 12 départements pédagogiques, 1 IUT, 1 école de commerce, 1 école d’ingénieurs, 14 unités de recherche et des services généraux et communs.

Elle est dotée d’un budget de 100 M€, dont 75 M€ de masse salariale.

Elle dispose de 520 emplois de personnels enseignants-chercheurs et enseignants et de 500 emplois de BIATSS.

Son patrimoine immobilier compte plus de 112 000 m².

Descriptif du poste

Au sein du Service Commun Informatique et Technique, la personne a plus particulièrement en charge la gestion des moyens pédagogiques dans les domaines de l’électrotechnique, de l’électronique et de l’informatique industrielle pour l’ensemble des formations dispensées par l’EIL CÔTE D’OPALE sur le site de Calais.

  • Elle est chargée d'installer et d'assurer la maintenance corrective et préventive des outils matériels et logiciels rentrant dans le cadre des expérimentations pédagogiques en électronique, électrotechnique et informatique industrielle. La personne assure leur cohérence, leur mise à niveau ainsi que la mise en service de produits nouveaux (matériels et logiciels).
  • La personne pourra être amenée à réaliser des études et des essais en électronique, électrotechnique et informatique industrielle dans le cadre de l'évolution des systèmes nécessaires pour la pédagogie.
  • Elle sera amenée à maintenir l’ensemble des installations et chargé de réaliser de nouvelles maquettes. Elle apportera un soutien technique aux utilisateurs.
  • Elle soutiendra également les projets étudiants et mettra en œuvre les moyens nécessaires à la réalisation de ceux-ci.
  • La personne participe aux missions polyvalentes du Service et pourra être amené à se déplacer sur les différents sites en cas de besoin.
  • Au-delà de ces missions, le poste consiste également à apporter un soutien au Responsable Administratif de la composante dans la gestion de tous les bâtiments de l’EIL Côte d’Opale.

Conditions particulières d'exercice

Encadrement  : NON

Conduite de projet : NON

Profil recherché

Compétences
Connaissance, savoir :

  • Connaissances générales en informatique, informatique industrielle, robotique et électronique.
  • Connaître les normes électriques et appliquer les règles de sécurité.
  • Connaître l’architecture matérielle d’un poste de travail.
  • Connaissance des configurations usuelles, matérielles, systèmes et outils bureautiques
  • Connaissances multidisciplinaires (informatique, informatique industrielle, robotique,
  • automatisme, électrotechnique, traitement du signal, vision, électronique, CAO/DAO).
  • Comprendre une documentation technique en anglais.

Savoir faire :

  • Maîtriser les bases des logiciels liés à la pédagogie.
  • Maîtriser les normes électriques et appliquer les règles de sécurité.
  • Maîtriser l’utilisation des appareils de mesure courants.
  • Savoir installer différents systèmes d’exploitation sur PC.
  • Savoir utiliser les différents logiciels, outils de diagnostic et d’exploitation.
  • Savoir s’adapter aux changements technologiques.

Savoir être :

  • Savoir travailler en équipe.
  • Etre disponible et réactif.
  • Savoir être à l’écoute des utilisateurs.
  • Avoir un bon relationnel avec les usagers.

Niveau d'études minimum requis

Niveau III : Bac + 2 BTS, DUT, ou diplôme équivalent

Information complémentaires

Type de contrat : CDD 1 an

Salaire brut mensuel indicatif : 1607.31 euros

Nature de l'emploi : Emploi ouvert aux contractuels

Syndicalement

Dany

Chargé(e) de « Vie de Campus pour le CMQ AVCPA » - Cat B

L'Université du Littoral-Côte d'Opale (ULCO), établissement pluridisciplinaire et multipolaire, propose à ses 10 000 étudiants une centaine de diplômes habilités dans 4 domaines de formation : les Arts, Lettres et Langues ; le Droit, Economie, Gestion ; les Sciences Humaines et Sociales ; les Sciences, Technologies, Santé/STAPS.

La préoccupation majeure de l'ULCO est d’œuvrer à la réussite académique et professionnelle de ses étudiants. La proximité avec les équipes pédagogiques, un accompagnement personnalisé, un enseignement de qualité et des méthodes éducatives innovantes créent un cadre propice à l'acquisition des connaissances, au dialogue et à la réussite de chacun. L’ULCO développe un programme pédagogique hautement qualifiant en s’appuyant sur ses filières d’excellence et son territoire tout en répondant aux besoins des acteurs socio-économiques.

Le soutien et le développement de la recherche ont toujours été une priorité pour l'université qui en tire une visibilité au niveau national et international. Elle s'articule autour de trois axes : « Mer et littoral, transformations et enjeux» pôle regroupant deux laboratoires, « Mutations technologiques et environnementales» pôle regroupant 7 laboratoires ; « Humanités et territoires intégrés », pôle regroupant 5 laboratoires.

Co-porté par le rectorat de Lille et la région Hauts-de-France, le Campus des Métiers et des Qualifications « Approvisionnement Valorisation Commercialisation des Produits Aquatiques » a été labellisé le 06 10 2020. L’établissement support est l’Université du Littoral Côte d’Opale.

Avec plus de 350 entreprises de pêche, aquaculture, mareyage-filetage, salaison, plats préparés, négoce, transport et logistique, la filière aquatique est une activité prépondérante dans le secteur agroalimentaire de la région Hauts-de-France et pour l’activité économique du Boulonnais. La filière compte plus de 6 000 salariés dont les trois quarts travaillent dans des activités de production artisanale et industrielle, et contribuent au plus haut point à la promotion de l’emploi sur le littoral et au rayonnement économique des Hauts-de-France et au-delà au rayonnement européen et international de la filière pêche française.

Les filières ciblées sont : maritime, pêche, aquaculture, halio-agroalimentaire et nutrition, procédés de transformation, Qualité-Hygiène-Sécurité-Santé, métiers de l’alimentation et en transversal commerce international, logistique, maintenance.

Le campus AVCPA porte l’ambition de devenir un acteur incontournable de la filière au niveau national et européen. L’attractivité des métiers et des formations et le développement de l’entrepreneuriat scolaire sont des piliers de cette stratégie. 

Descriptif du poste

Dans le cadre de la mesure X62.1.b intitulé « Mise en œuvre de la stratégie de Développement Local par les Acteurs Locaux » du FEAMP (Fonds Européens pour les Affaires Maritimes et la Péche) et sous l’autorité du Directeur Opérationnel du campus et en lien permanent avec l’ensemble des partenaires, le chargé de mission « vie du campus » a pour mission d’assurer la gestion et la promotion du projet et du Campus.

- Assurer l’animation de la commission « vie du CMQ » et développer les partenariats nécessaires à son développement y compris pour le volet culturel et le volet sport et santé

- Accompagner le développement et l'animation du campus en lien avec les équipes de directions des établissements de formations partenaires du CMQ, les acteurs de l’emploi local et le monde économique 

- Développer un programme visant à renforcer l’attractivité des Métiers de la filière en étroite complémentarité avec les partenaires locaux et les dispositifs existants :

  • Elaborer les outils de communication nécessaires à son développement y compris des outils ludo-éducatif ; Etablir les lettres d'information pour les partenaires comme pour le public cible ; Impliquer les élèves et les étudiants dans l'organisation d’événements et les inciter à être force de proposition dans les actions liées au développement durable et à la vie associative et sportive en lien avec les institutions, professionnels et le secteur associatif local.

- Participer au développement des partenariats internationaux en lien avec l'agence erasmus et le programme MOBINOV région

- Répondre à des AAP régionaux

- Réaliser des bilans et rapport d’activités  

Conditions particulières d'exercice

Type de contrat et durée de la mission

Poste ouvert :

  • Aux salariés contractuels sous la forme d’un CDD de 10 mois reconductible.
  • Aux titulaires de catégorie B par voie de détachement ou mise à disposition, sous réserve d’un avis favorable de l’administration de rattachement
  • Date de démarrage : le 01 mars 2021
  • Quotité : 100 %

Localisation : Université du Littoral Côte d’Opale – Site de Boulogne sur Mer

Salaire mensuel brut indicatif contractuel : 1607.31 €

Profil recherché

Compétences demandées

  • Bonne pratique des outils numériques et de la communication sur les réseaux sociaux
  • Connaissance des réseaux locaux et régionaux de la filière
  • Maitrise de la langue anglaise

Aptitudes attendues

  • Aisance relationnelle
  • Intérêt pour le travail en équipe et en réseau
  • Disponibilité
  • Autonomie
  • Sens de l’initiative

Niveau d’études minimum requis : Bac +2

Niveau d'études minimum requis : Niveau III : Bac + 2 BTS, DUT, ou diplôme équivalent

Information complémentaires

Pour plus de renseignements, veuillez contacter : Stéphanie Guérin-Marichez

 stephanie.marichez@region-academique-hauts-de-france.fr

Date limite de réception des lettres de motivation et des CV : 12 février 2021

Les candidats préciseront dans leur message d'accompagnement du courriel l'intitulé de l'emploi pour lequel ils postulent.

Envoyer le dossier de candidature par mail à :

recrutements.biatss@univ-littoral.fr à l’attention de Madame Sabine DUHAMEL

Nature de l'emploi : Emploi ouvert aux titulaires et/ou aux contractuels

Syndicalement.

Dany

jeudi 14 janvier 2021

Déclaration du SNPTES : Séance extraordinaire du CHSCT MESR du 14 janvier 2021

Alors que le CHSCT est réuni pour examiner le projet de circulaire ayant pour objet de décliner la stratégie nationale de test « Tester Alerter Protéger » (TAP) au sein des établissements d’enseignement supérieur, le SNPTES souhaite se positionner sur des points qui pourront améliorer cette circulaire. Le SNPTES alerte sur la nécessité d’une politique de test qui ne doit pas être uniquement à l’échelle des établissements, mais s’inscrire dans une logique territoriale afin d’être efficace.

En tout premier lieu, il nous semble important de lister des revendications d’ordre général et relative à la gestion de la crise sanitaire que nous traversons. Ainsi, le SNPTES exige :

  • Dans le prolongement des avancées obtenues sur le jour de carence (suspension temporaire par décret à compter du 8 janvier 2021 et jusqu’au 31 mars 2021 au titre des congés de maladie directement en lien avec la Covid 19), son abrogation définitive pour tout congé de maladie.
  • Un traitement des étudiants similaire à celui des salariés et indépendants du secteur privé (Dont beaucoup vont perdre leur emploi, nous ferons les comptes en 2022 mais les conséquences sociales et sociétales s’annoncent d’ores et déjà dramatiques), signifiant par là une augmentation conséquente des moyens alloués aux établissements de l’enseignement supérieur et de la recherche, et permettant des conditions d’étude à distance garantissant l’égalité de traitement et ce indépendamment des conditions de ressources, et la préservation de la santé physique et psychique.
  • Des conditions d’étude harmonisées entre tous les étudiants, qu’ils soient issus des BTS, Grandes Ecoles ou établissements de l’enseignement supérieur. Les seules différences notables doivent être le fait de considérations locales en lien avec la circulation du virus et les capacités à assurer la sécurité sanitaire (par exemple, des établissements avec une forte population, de faibles surfaces et des difficultés d’aération ne pourront pas proposer exactement les mêmes conditions d’enseignement que des établissements ayant peu d’étudiants et des surfaces importantes et ventilées correctement).
  • L’apparition de nouveaux variants du virus un peu partout dans le monde, dont certains semblent résistants aux vaccins actuellement disponibles, doit appeler à la plus grande prudence de notre ministère. En effet, la crise nous a enseigné que ce qui arrive aux pays voisins, peut très rapidement s’étendre à d’autres. De plus, les connaissances actuelles restent floues et mouvantes sur la virulence et la dangerosité du virus face aux populations jeunes. Il est donc indispensable d’assurer la sécurité et la protection de la santé physique et psychique des personnels et usagers, la qualité de l’enseignement devant être préservée. A cet effet, le SNPTES recommande pour chaque étudiant et ce, quels que soient ses conditions de ressources et son environnement la mise en place des mesures suivantes :
    • Un entretien par semaine avec un enseignant ou référent, hors enseignement, afin de recréer du lien, conserver la motivation et détecter les points de difficultés éventuels. Si les conditions sanitaires locales et le respect des consignes sanitaires le permettent, cet entretien doit pouvoir s’effectuer en présentiel tout comme les TP, en individuel ou échanges par petits groupes ;
    • Deux séances de sport, en petit groupe et dans le respect des consignes sanitaires, en intérieur et en extérieur, dans les infrastructures habituellement utilisées par les étudiants en STAPS. A titre d’exemple, l’organisation de séances de tai chi, de sophrologie, ou bien d’activités en plein air pourront permettre aux étudiants de mieux vivre cette période. En outre, les activités sportives individuelles autorisées pour la population comme l’équitation, les activités nautiques, la gymnastique, le cyclisme, les randonnées, etc. devront être proposées aux étudiants dans le souci de leur bien-être ;
    • Un minimum de deux sorties culturelles par étudiant dans le mois, par petit groupe et dans le respect des consignes sanitaires (musées, expositions, cinéma en plein air, dessin, etc.) ;
    • Enfin, les compétences des facultés de psychologie et de médecine devront être mobilisées afin d’assurer un suivi hebdomadaire des étudiants en demande, et à minima mensuel pour les autres. L’objectif étant de détecter et d’accompagner au traitement de toute détresse ou pathologie psychique et mentale pouvant survenir lors de cette crise. Ce travail sera à effectuer en lien, afin de ne pas repartir de zéro, avec les services de santé universitaires et les assistantes et assistants sociaux du CROUS qui ont d'ores et déjà effectué un gros travail à certains endroits. Il en est de même pour les cellules d'écoute des universités concernant les violences de tous types qui sont sursollicitées en ce moment.
  • Enfin, pour le SNPTES, il est indispensable de prévoir dès aujourd’hui la sortie de crise pour l’ensemble des étudiants, et donc de définir quelles seront les modalités compensatrices pour ces années qui auront été sources d’inégalités.

La circulaire présentée a le mérite de changer de cap vis-à-vis de l’ARS, de manière à gagner en efficacité. Certains établissements en partenariat avec les CHU avaient déjà fait ce choix de tracing bien plus réactif qu’avec l’ARS et de dépistages volontaires.

Pour que cette circulaire et cette nouvelle façon de procéder fonctionne, des MOYENS HUMAINS sont indispensables car c’est pour du long terme.

Par ailleurs, concernant la circulaire relative aux tests, le SNPTES exige et alerte sur ces différents points :

  • De manière générale, les délais très courts nécessitent la mise en œuvre de moyens dans les mêmes délais (le coût des 8 euros par test pouvant très rapidement générer un budget conséquent, suivant la taille des établissements), et un accompagnement des établissements.
  • A la lecture de la circulaire, il n’apparait pas de mesures précises afin de motiver et de garantir la sécurité et la reconnaissance du travail des médiateurs de lutte anti-Covid. Et ce, alors qu’ils sont un élément clé du nouveau dispositif TAP de l’enseignement supérieur et de la recherche. Le SNPTES s’interroge sur les modalités de délivrance de leur attestation : qui les délivre et sous quel délai ?
  • Enfin, le SNPTES alerte sur la tension actuelle des SSU, alors que le nouveau dispositif va encore plus les solliciter. Il faut donc des moyens supplémentaires, humains et financiers, pour que cette stratégie puisse être mise en œuvre et être efficace.
  • De la même manière, le recours aux personnels de santé comme « superviseurs » pose la même question de leur disponibilité en temps.
  • Enfin, le SNPTES demande une position claire du ministère sur la politique vaccinale qu’il souhaite ou non, mettre en place dans l’objectif de protéger les personnels et usagers. La vaccination dans nos établissements nécessiterait des moyens humains et matériels, une logistique et une gestion de la patientèle importants.

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